mercredi 26 août 2009
A propos du Trombinoscope d'Henri
de haut en bas, sur le trombinoscope d'Henri, j'avais aussi reconnu Alain Pellegry au 2e rang à gauche(décédé il y a peu... sauf confusion),
puis en haut au centre je pense que c'est Maurice Fustier
et au 3e rang à droite, Christiane Chamalet ; la fille entre Danièle A. et Christiane Ch. je ne vois pas qui est-ce.
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Bien remis par contre, le fameux OPAL, d'1 autre message !
Allez, bonne fin de journée.
Anne-Marie
Mr OPAL ...! ?
Quelques images glanées ici et là , au hasard des balades
mardi 25 août 2009
Rectification
Bonne journée à tous sous la pluie (nous sommes mardi matin, il est 7 h 30 et je ne vois pas la maison d'en face, de l'autre côté de ma rue)
Françoise
lundi 24 août 2009
Le coup de projecteur (suite)
Bonsoir
Il est possible ou probable que vous ne soyez pas passionnés par l’avenir de ce projecteur retrouvé dans le grenier à GELLES le 04 juillet 2009 ( ?)
Pourtant cette vielle lanterne a éclairée nos soirées les samedi soir, au début en classe de 6éme (transformée en salle de projection pour la circonstance) ensuite dans la salle des fêtes qui nous servait aussi de dortoir (pour les garçons)
Il y a environ 20 ans j’avais essayé de le récupéré mais sans succès, aujourd’hui j’ai satisfaction qu’il est échappé à la « caisse à ferraille ».
Petite fiche :
-Projecteur sonore 16 mm de marque française (OGCF) PARIS 16éme. N° matricule 537
-Projecteur typique du cinéma ambulant des années 50.Les projectionnistes avaient besoin de projecteurs puissants mais faciles à transporter (de village en village).
-Il était présenté dans 2 malles, une pour le projecteur et une bobine de 600 m et l’autre pour l’ampli et le haut parleur (qui se placé derrière l’écran).
Comme je vous l’ai indiqué j’ai récupéré une des malles + les objectifs et une lampe de secours, il manque un petit « carter » de protection et surtout la cellule de lecture pour le son, sans compter les courroies et autres petites pièces. J’ai enlevé la poussière, je lui ai remis son œil et ses bobines pour qu’il ai meilleur allure. (Photo)
J’ai un transformateur de courant (220/110v) je vais donc tenter d’allumer la lanterne (avec précautions), hélas la lumière seule sera insuffisante pour une projection : j’ignore si le moteur est toujours en état et il faut trouver les courroies et les poulies manquantes et aussi un film 16 mm. (Occupation pour cet hiver).
Pour ma part, j’ai gardé souvenir de cette Lanterne, j’étais fière de m’en occuper, c’était un peu magique d’installer le cinéma (n’oubliez pas nous avions 13/14/15 ans), les Américains marchaient sur la lune ! les BEATLLES chantaient ! Mais à GELLES les distractions étaient rares.
« OBJETS INANIMES …….AVEZ VOUS DONC UNE AME ? QUI S’ATTACHE A NOTRE AME ET LA FORCE D’AIMER »
A de LAMARTINE.
Bonne soirée
Henri
samedi 22 août 2009
Lectures à partager
Celui qui m'a le plus impressionnée, c'est Enfant 44 de Tom Rob Smith. Cet ouvrage est un premier roman qui évoque, à nous en faire froid dans le dos, cette implacable machine à broyer les hommes que fut le système policier soviétique. A noter que ce livre va bientôt être adapté au cinéma par Ridley Scott. C'est pas rien, quand même, comme seconde signature !...
Le second "pavé" que j'ai lu est Un pays à l'aube de Dennis Lehane. On y voit l'Amérique se remettre difficilement des soubresauts de la Première Guerre mondiale ; l'économie est ébranlée, le pays est endetté et les Noirs occupent souvent les postes que les soldats occupaient avant leur départ. C'est sur ce terreau que se développent les luttes syndicales, que prospèrent les groupes anarchistes et communistes ainsi que les premiers mouvements de défense de la cause noire.
Moins denses que les deux précédents, j'ai lu aussi La femme de hasard de Jonathan Coe, premier roman encore qui évoque la triste histoire de Maria et de ses désillusions.*
J'ai beaucoup aimé aussi D'autres vies que la mienne d'Emmanuel Carrère dans lequel l'auteur se fait le témoin privilégié de vies réelles et parle de vie, de mort, d'extrême pauvreté mais aussi de justice et d'amour.
Voilà 4 livres que j'ai aimés particulièrement ces derniers temps.
Amitiés à tous
Françoise
*Avec en filigrane humoristique, la "présence" du narrateur sous forme de clins d'oeil complices, faisant des allers-retours entre le passé et le futur de son personnage.
jeudi 20 août 2009
Les bienfaits de la chaleur
Moi non plus, donc, je ne suis guère efficace pour l'extérieur et j'ai vu ton trombinoscope, Henri. J'ai reconnu Alice Estrade en bas à gauche, Daniel Roure en haut tout à droite, Jean-Michel Roger qui trône au beau milieu et dont le sourire est bien resté le même. J'ai vu aussi Jocelyne Blanchet à côté d'Alice. Mais il y a aussi Danièle Augère tout en haut à gauche et j'ai repéré Jean-Jacques Jouve (ou Jouffre, je ne sais plus) en bas à droite. Il doit y avoir Jean-Paul Ballet à côté de Jean-Jacques.
Voilà, j'ai fait mon petit exercice de mémoire de la journée et je vais revenir maintenant dans notre XXIème siècle, qui, lui, la perd quelquefois, sa mémoire ! Mais c'est une autre histoire, pour d'autres pages ...
A bientôt de vous lire
Françoise
mercredi 19 août 2009
films
personnellement je me souviens avoir diffusés "ni vu ni connu" avec Louis de Funes
et aussi "le sous-marin rose" avec Tony Curtis
pour le moment je cherche et je vous tiens au courant
bonne journée
mardi 18 août 2009
Enquête
C'est possible, dans ce cas il faut lancer une enquête pour retrouver celui ou celle qui avait la charge d'organiser les projections , mais peut être quelqu'un a conservé souvenir de l'événement ?
Affaire a suivre......................!
Henri BOULEGUE
Page cinéma n°2
Penses-tu que cela soit possible ? J'ai la quasi-certitude d'avoir vu ces films là-haut mais, bon, je ne mettrai pas non plus ma tête sur la billot, c'est trop risqué. Et puis, ma tête, elle est ce qu'elle est, mais elle me rend quelques services auxquels je tiens !
Allez, je vous laisse mais si quelqu'un peut éclairer ma lanterne, ce sera bien.
Bonne journée à tous. Il va faire un soleil d'enfer.....
Françoise
PS : Je sais que le blog va afficher mon message à la date du lundi 17, mais en fait nous sommes mardi 18 et à 7 heures du matin, il fait déjà 19°. La chaleur de la journée aussi, va être d'enfer.
lundi 17 août 2009
Page cinéma
Pour les 3 films dont tu parle je n'ai pas souvenir de la projection à GELLES, je connais ces films et à mon avis je pense que l' Antoine n'aurait pas donné son accord pour ce choix.
Mais nous avons vu (sous son règne) Le testament du Dct CORDELIER !! ALORS!!
Merci de chercher dans vos souvenirs...................
Bonne nuit
Henri
Surprise...
Françoise
Et encore du ciné....
Vous souvenez-vous de ces films ? Henri, les as-tu bien diffusés sur notre écran de la salle des fêtes ?
Maintenant, tous à vos souvenirs afin que l'on construise peut-être le "catalogue de notre ami Henri" ! Il n'aura pas de prix.......
Amitiés à tous
Françoise
samedi 15 août 2009
Le Testament du Docteur CORDELIER
J'ai une copie de ce film de Jean RENOIR et du coup je viens de le revoir.
Bon week end
Henri BOULEGUE
De la part de Charles Guillaume
Le docteur Cordelier, celebre psychiatre, a confie a Maitre Joly un testament en faveur d'un certain Opale, sinistre individu, sadique et meurtrier. Cordelier presente Opale comme un patient sur lequel il se livre a des experiences. Mais on apprend bientot qu'Opale et Cordelier ne font qu'un...
vendredi 14 août 2009
Mystère
Je me souviens très bien de cette histoire, comment ce brave Antoine nous a laissé voir ce film?? MYSTERE.!!!!
J'en ai justement parlé avec Daniel ROURE le 4 juillet à Gelles, un film avec Jean Louis BARRAULT dans le rôle titre. Chez les garçons on se mettait quelque chose dans la bouche pour imiter cet effrayant docteur.
C'était probablement la 1ére fois que je regardais un film "d'épouvante"
Un grand souvenir BRRRRRRRRRRRRRR!!!
Bonne soirée
Henri BOULEGUE
Dr Jekyl and Mr Hyde
Je vais vous parler aujourd'hui d'un truc que peut-être les filles de cette époque, à Gelles, se remémoreront .
Tous les mercredis-en principe-on avait droit à la télé, et une fois par mois c'était le fameux''Age tendre et têtes de bois' d'Albert Raisner, tant attendu . L'époque yéyé et nos idoles...
Ou sinon ''la Piste aux étoiles'', puis on allait au lit. Mais un soir, je ne sais plus quel événement s'est produit et le père Espinasse a dû s'occuper urgemment de quelque chose.
Il nous a laissés devant la télé où passait ''Dr Jekyl et Mr Hyde'', pour nous, jeunes gamines pas vraiment habituées au cinéma à cette époque, cela a été délicieusement effrayant.
Très effrayant même! Mister Antoine n'avait pas dû avoir connaissance du programme...
--Et pendant un temps, au dortoir, les filles ont inventé un jeu avec des cintres (pourquoi des cintres?.. sans doute pour simuler la canne du personnage) : faire le brave Hyde qui se transforme en méchant Jekyl, en faisant des gestes qui se voulaient inquiétants.
On jouait à se faire peur et, oui, on avait la frousse, mais c'était en même temps excitant .On se cachait sous les couvertures en gloussant de frayeur.
Souvenir ! Souvenir !
jeudi 13 août 2009
Pensionnat d'avant....
J'arrive sur le blog avec des souvenirs de Gelles..
Je suis Anne-Marie Fargeix/Martins et je suis entrée au collège en 1960 -la 2e année de son ouverture ; il n'y avait encore que la 6e et la 5e- après les autres classes ont ouvert. J'en suis partie en 1964.
La 6e était dans une salle au R de CH. donnant sur la cour des garçons, (avant le perron, en venant du portail extérieur..)
*Les années pension... pas pour moi des bons souvenirs, dans l'ensemble(j'ai même hésité avant de m'inscrire pour la journée du 4 juillet). Aussi, en lisant les écrits sur le blog, j'ai été étonnée de voir que ce mal-être était quand même partagé par d'autres, je n'en avais pas eu conscience à l'époque...
Petite fille, comme d'autres, sortie de son cocon familial pour atterrir dans ce milieu communautaire, ça passait mal... que de cafard, de pleurs! Il faut vous dire aussi que ma famille habitait à 8 kms de Gelles, mais en 1960, il n'était pas question de ramassage scolaire et ne sortir que tous les 15 jours, à cette faible distance, aujourd'hui ça paraît complètement aberrant !Et l'année de la 4e, le père Espinasse avait décrété que tout élève ayant une note en-dessous de 8/20 serait privé de sortie: là c'était carrément la Terreur constante, car si le français ne me posait pas de pb; les maths et la physique c'était autre chose.
Je soupçonne quelques profs compatissants-pure spéculation- d'avoir 'monté' parfois des notes à cause de cela.
*Vous souvenez-vous des caisses à provision que l'on ramenait le lundi matin d'une rentrée et dont le contenu devait durer les 15 jours suivants, pour le goûter!confitures, gâteaux, et je ne sais plus quoi encore..; (bonjour le contrôle sanitaire!) Ces caisses fermées par un cadenas étaient entreposées dans le petit local sous le préau(fermé à clé) proche des WC, dans la cour...et à 17h(?)c'était le cérémonial du goûter.Chacun sortait sa caisse en bois.
Je ne sais plus en quelle année ça s'est transformé en un défilé en rang près des escaliers de la cantine où là on nous distribuait le goûter.
*Quant à la cantine, il y avait un tour de service, soit pour desservir, nettoyer la salle, soit pour essuyer la vaisselle.
*J'aimais bien Francine(Combaud) la cantinière, qui nous maternait un peu des fois.Elle a plus tard tenu l'Economat de Gelles puis de Pontgibaud, avec son mari.
Le 4 Juillet quand je suis montée revoir les dortoirs avec mon amie Ginette (Tréfond) on en avait la chair de poule; on a pu revoir encore à quelques endroits, les fameux placards coulissants derrière les lits.
Ah le lever matinal; la cloche qui résonne,«non, non, encore quelques minutes sous les couvertures!»
Et puis certains matins, d'un coup, 1 cri d'alarme «CINQ ! »«CINQ! » annonçant l'intrusion du père Espinasse; et malheur aux traînardes, il en chopait une, tirait vertement les couvertures jusqu'au fond du lit et emmenait l'infortunée sous le robinet d'eau froide pour la réveiller!
Ces rangées de lavabos d'eau froide, vétustes,(enfin vu de nos jours), quel mauvais souvenir!
**Après Gelles j'ai rempilé pour 4 ans au lycée Jeanne d'Arc et pour celles qui ont connu, pas franchement mieux avec la Miss Berthet comme Proviseur...j'y ai vécu la dernière année -1968 -et les évènements de Mai, mais nous les pensionnaires, on était derrière nos murs, jusqu'à ce que, un beau matin, tous les parents soient contactés et priés de venir en urgence récupérer leur progéniture.
Année du BAC et oui ; 3 semaines avant on ne savait pas si on allait ou pas le passer!
Bon pour cette fois je vais terminer, je raconterai d'autres souvenirs une prochaine fois.