Bonjour à tous,
Depuis quelques jours j'ai un soucis. Le lendemain d'une soirée chez Françoise(voir messages précédents) elle se demandait si elle allait faire un tour en vélo ou si elle devait ramasser les feuilles mortes ? elle m'a consulté (bien que je ne soit pas un spécialiste) , après réflexion je lui ai conseillé le vélo!! car c'est sur :!!! tu ramasse ces "putains de feuilles" et le temps de déguster ta satisfaction.......... "HOP" elles sont revenues, donc le vélo c'est mieux; enfin c'est à voir car moi j'habite Orcines , ceux qui connaissent comprendront que dans ce cas le vélo comme la peinture à l'huile, c'est plus difficile.
Bref, avec Françoise nous en avons parlé quelques fois, jusqu'à ce matin ou le vent ( du Nord probablement) m'a donné un coup de main (ou de pelle ?) , il a regroupé les feuilles dans un coin du jardin. J'ai donc oublié ma propre pelle le boulot étant fait et du coup j'attends la prochaine rafale (pour Dassault rafale est masculin ?)
Françoise, j'ai consulté les plus grands spécialistes( que je connais): PREVERT,MOULOUDJI, J.GRECO, MONTANT, JONASZ, GAINSBOURG et Dee Dee BRIDGWATER ......ils ou elles disent la même chose: la pelle c'est bien!! Mais avant la vie était plus belle!!! ( Si ça ce trouve PREVERT a dit ça pour la rime ??)
Voila j'ai fait mon petit délire avant d'aller faire mon tour à l'hosto et au moment de partir je vois que ma voiture est couverte de feuilles (le vent et parti sans finir le boulot) et pas facile de les enlever avec une pelle.
Je vous embrasse, à bientôt sur le blog ou ailleurs!!!!
Henri
lundi 27 octobre 2008
samedi 25 octobre 2008
Un petit brin de dérision et de sourires dans un monde de b.....
Le message de Jean-Claude m'a vraiment donné envie de revenir à du plus léger, du moins sérieux et en ces temps difficiles s'il en est, j'ai pensé au CHAT pour nous redonner le sourire. Je vous livre deux planches : la première est plus directement dédiée à Jean-Claude et je suis bien sûre qu'il en appréciera la justesse.
(3ème bulle de la 2ème vignette : "Mais s'il chute, c'est le plongeon")
La seconde nous aidera à dédramatiser l'existence de tous les murs qui empêchent la libre circulation des hommes.....et des idées.
Oh, je ne prétends pas vous faire connaître Geluck et ses facéties, je sais que nombre d'entre vous le "fréquentent" régulièrement. Non, je veux simplement ouvrir une petite fenêtre - invention tout aussi indispensable que vitale - de dérision dans notre week-end. Alors, sourions ensemble et pensons à autre chose qu'à cette fichue "crise" qui nous envahit tous d'une manière ou d'une autre (personnellement, mon gendre travaille chez Renault et cela me procure quelques inquiétudes)
Cela dit, le mur de Jean-Claude..... hélas, tout un défilé d'images que l'on voudrait bien oublier !
LE CHAT vous a fait sourire ? Oui ? Alors, tant mieux.....
Bon week-end et à bientôt de vous lire.
Françoise
PS : pour la petite histoire, ce matin, c'est une vidéo que je voulais livrer à vos esprits malins ! Mais ce que je prenais pour une vidéo était en fait un diaporama et n'était pas au format requis par le blog ; bien sûr, tous mes efforts se sont révélés inefficaces. Je me suis donc rabattue sur ces deux planches, ne voulant pas laisser la malice de Geluck de côté.
(3ème bulle de la 2ème vignette : "Mais s'il chute, c'est le plongeon")
La seconde nous aidera à dédramatiser l'existence de tous les murs qui empêchent la libre circulation des hommes.....et des idées.
Oh, je ne prétends pas vous faire connaître Geluck et ses facéties, je sais que nombre d'entre vous le "fréquentent" régulièrement. Non, je veux simplement ouvrir une petite fenêtre - invention tout aussi indispensable que vitale - de dérision dans notre week-end. Alors, sourions ensemble et pensons à autre chose qu'à cette fichue "crise" qui nous envahit tous d'une manière ou d'une autre (personnellement, mon gendre travaille chez Renault et cela me procure quelques inquiétudes)
Cela dit, le mur de Jean-Claude..... hélas, tout un défilé d'images que l'on voudrait bien oublier !
LE CHAT vous a fait sourire ? Oui ? Alors, tant mieux.....
Bon week-end et à bientôt de vous lire.
Françoise
PS : pour la petite histoire, ce matin, c'est une vidéo que je voulais livrer à vos esprits malins ! Mais ce que je prenais pour une vidéo était en fait un diaporama et n'était pas au format requis par le blog ; bien sûr, tous mes efforts se sont révélés inefficaces. Je me suis donc rabattue sur ces deux planches, ne voulant pas laisser la malice de Geluck de côté.
Le soleil est de retour...
Je vous livre aujourd'hui le texte que m'a envoyé Jean-Claude et dont le titre est PESTE ; j'en profite pour vous souhaiter une bonne journée et un bon week-end : le temps s'annonce beau.
Bonsoir,
Bien sûr que nous allons garder le contact, mais peut-être quelques-uns après ces premières retrouvailles ont besoin de souffler un peu.
Comme je l'évoquais au mois de Juin, j'ai aimé la diversité de nos parcours et chacun a accepté l'autre avec respect. Finalement nous ne savons pas grand-chose les uns des autres et nous avons vécu cette journée du 13 septembre comme si un très long week-end venait de s'écouler.
Depuis rien n'a vraiment changé dans mon nord Dauphiné adoptif. Bourgoin continue de perdre en championnat, Martinet es ses salades est moins riche que votre célèbre équipementier en gomme !!!!!!!!
Pour nous, toujours les randos et le grand air, individuellement ou en club. Le week-end dernier, nous avons baroudé avec des amis du côté de la Provence, celle de Giono, avec pour thème le mur de la peste, les lavandes et fossiles du plateau d'Albion. Côté sportif, 40 kms et 1800 m de dénivelé et puis, alors que nous pique-niquions au-dessus de Méthamis près du mur de la peste, est venue une terrible discussion. Je vous en tairai le contenu mais je vais essayer d'aiguiser votre curiosité et votre réflexion.
En 1721, il a été décidé de construire un mur de 30 kms environ pour protéger les habitants du Comtat Venaissin de la peste qui venait de Marseille, d'Apt et de Manosque. Ce mur était gardé par l'armée et filtrait le passage des habitants ; d'une relative efficacité, il a quand même permis d'épargner la région de Méthamis.
Un mur, me direz-vous : Allemagne de l'Ouest, Allemagne de l'Est, Israël, Pays Arabes... Tous ces murs qui cachent les favellas au Mexique et au Brésil, et bien d'autres ailleurs certainement? Un mur, mais dans ces derniers cas, d'où vient la Peste ????????????
Puis nous avons repris notre balade et bizarrement le soir devant un souper aux parfums provençaux, nous n'avons même plus évoqué le mur.
Amitiés à vous tous
Chantal et Jean-Claude
Bonsoir,
Bien sûr que nous allons garder le contact, mais peut-être quelques-uns après ces premières retrouvailles ont besoin de souffler un peu.
Comme je l'évoquais au mois de Juin, j'ai aimé la diversité de nos parcours et chacun a accepté l'autre avec respect. Finalement nous ne savons pas grand-chose les uns des autres et nous avons vécu cette journée du 13 septembre comme si un très long week-end venait de s'écouler.
Depuis rien n'a vraiment changé dans mon nord Dauphiné adoptif. Bourgoin continue de perdre en championnat, Martinet es ses salades est moins riche que votre célèbre équipementier en gomme !!!!!!!!
Pour nous, toujours les randos et le grand air, individuellement ou en club. Le week-end dernier, nous avons baroudé avec des amis du côté de la Provence, celle de Giono, avec pour thème le mur de la peste, les lavandes et fossiles du plateau d'Albion. Côté sportif, 40 kms et 1800 m de dénivelé et puis, alors que nous pique-niquions au-dessus de Méthamis près du mur de la peste, est venue une terrible discussion. Je vous en tairai le contenu mais je vais essayer d'aiguiser votre curiosité et votre réflexion.
En 1721, il a été décidé de construire un mur de 30 kms environ pour protéger les habitants du Comtat Venaissin de la peste qui venait de Marseille, d'Apt et de Manosque. Ce mur était gardé par l'armée et filtrait le passage des habitants ; d'une relative efficacité, il a quand même permis d'épargner la région de Méthamis.
Un mur, me direz-vous : Allemagne de l'Ouest, Allemagne de l'Est, Israël, Pays Arabes... Tous ces murs qui cachent les favellas au Mexique et au Brésil, et bien d'autres ailleurs certainement? Un mur, mais dans ces derniers cas, d'où vient la Peste ????????????
Puis nous avons repris notre balade et bizarrement le soir devant un souper aux parfums provençaux, nous n'avons même plus évoqué le mur.
Amitiés à vous tous
Chantal et Jean-Claude
vendredi 24 octobre 2008
Enfin de retour....
....aprés six semaines sans ordinateur...il faut croire que nous menons, chacun des individus que nous sommes, une vie d'addiction. J'étais ( pendant ces quelques semaines ) furieux et malheureux de ne plus avoir accès à notre blog. Fini, privé de la possibilité de s'adresser aux amis. A présent tout est redevenu normal...alors qu'il me soit permis de dire mon bonheur d'être de retour parmi vous.
A ce propos ne pensez vous pas qu'il est important de continuer à garder le contact que vous avez réussi à créer. Je pense que la fleur de modernité électronique qu'est ce blog doit continuer à vivre. Je suis prêt, personnellement à m'y engager. Notre diversité est assez riche en potentiel créatif pour nous fournir des sujets et des projets d'avenir plus ou moins immédiats. Ce que nous avons commencé doit perdurer. Alors on s'y met dès maintenant ? On a besoin de toutes et tous.
Daniel
A ce propos ne pensez vous pas qu'il est important de continuer à garder le contact que vous avez réussi à créer. Je pense que la fleur de modernité électronique qu'est ce blog doit continuer à vivre. Je suis prêt, personnellement à m'y engager. Notre diversité est assez riche en potentiel créatif pour nous fournir des sujets et des projets d'avenir plus ou moins immédiats. Ce que nous avons commencé doit perdurer. Alors on s'y met dès maintenant ? On a besoin de toutes et tous.
Daniel
mardi 21 octobre 2008
Il pleut .....
Salut, Jean-Michel, Henri, Daniel, Ginette.... et les autres
J'espère que tout va bien pour vous. Déjà un gros mois depuis que nous nous sommes revus ; encore un mois qui a passé à vitesse grand V. Mais n'est-ce pas une banalité que de dire que le temps passe vite ?
Justement, il ne faut pas qu'on le laisse filer tout seul et il nous faut l'accompagner. Écrivons-nous sur le blog, téléphonons-nous ou mieux dans la mesure de nos possibilités, rendons-nous visite. Cette dernière condition est, bien sûr, la plus difficile à remplir, en raison, parfois, de notre éloignement. On ne va pas du jour au lendemain en Bretagne, n'est-ce pas, Jean-Michel ? Ça se prépare !
Vendredi dernier, Henri et Daniel sont venus dîner à la maison et nous avons passé une bonne soirée et nous avons tout à fait réussi à dépasser l'univers gellois. C'est bien un peu le but, aussi, de ces retrouvailles : nous re-connaître et découvrir qui nous sommes devenus.
Joëlle nous avait invités à Lyon pour les fêtes de la lumière, début décembre et nous ne pourrons hélas pas y aller car nous sommes pris par des activités théâtrales au sein d'une association. Dommage.... mais ce n'est que partie remise et elle m'a parlé du printemps ; je conserve cette idée dans un coin de ma mémoire !
Cette association nous a d'ailleurs accaparés samedi soir. Nous sommes allés à une soirée organisée par la Fédération Nationale des Compagnies de Théâtre amateur ; c'était une soirée cabaret où, au milieu des extraits de spectacles, le repas - le pique-nique, je dirais, mais quelle importance ? - était offert. Nous avons vu des acteurs amateurs surprenants et des spectacles totalement différents. Cela allait de la mise en scène très sérieuse des "Aveugles" de Maurice Maeterlinck à du théâtre comique sur fond de peinture de société, représentant le monde paysan de la région de Viscomtat d'une façon vraie et désopilante, en passant par une adaptation de "La Gloire de mon père".
Bref, la soirée fut excellente et elle se termina tard. Aussi le lendemain, nous avons tourné au ralenti. Il me restait juste assez d'énergie pour ramasser les feuilles morts. Eh oui, Henri, je l'ai finalement fait après avoir remis la main sur ma pelle !.... Mais je suis déçue car tu avais raison : je ne sais pas pourquoi elles sont revenues. Pourtant on les a emmenées à la déchetterie !...
Aujourd'hui le temps se couvre et plus la matinée avance, plus on sent les orages annoncés venir. On ne voit plus du tout le Puy de Dôme (que je vois de mes fenêtres) et je suis bien sûre que Henri a la tête dans les nuages et dans la pluie.... Il faut trouver à s'occuper sans mettre le nez dehors...
Pour l'heure, je vais vous laisser et attends avec impatience de lire vos nouvelles.
A bientôt donc.
Françoise
PS : Jean-Michel m'a envoyé d'autres photos. Dés que j'ai fait le tri, je les mets sur le blog pour que tout le monde en profite. Je vous demande juste un peu de temps. Tiens, encore lui.....
Un coup d'oeil à la fenêtre et je vois qu'il pleut......
Justement, il ne faut pas qu'on le laisse filer tout seul et il nous faut l'accompagner. Écrivons-nous sur le blog, téléphonons-nous ou mieux dans la mesure de nos possibilités, rendons-nous visite. Cette dernière condition est, bien sûr, la plus difficile à remplir, en raison, parfois, de notre éloignement. On ne va pas du jour au lendemain en Bretagne, n'est-ce pas, Jean-Michel ? Ça se prépare !
Vendredi dernier, Henri et Daniel sont venus dîner à la maison et nous avons passé une bonne soirée et nous avons tout à fait réussi à dépasser l'univers gellois. C'est bien un peu le but, aussi, de ces retrouvailles : nous re-connaître et découvrir qui nous sommes devenus.
Joëlle nous avait invités à Lyon pour les fêtes de la lumière, début décembre et nous ne pourrons hélas pas y aller car nous sommes pris par des activités théâtrales au sein d'une association. Dommage.... mais ce n'est que partie remise et elle m'a parlé du printemps ; je conserve cette idée dans un coin de ma mémoire !
Cette association nous a d'ailleurs accaparés samedi soir. Nous sommes allés à une soirée organisée par la Fédération Nationale des Compagnies de Théâtre amateur ; c'était une soirée cabaret où, au milieu des extraits de spectacles, le repas - le pique-nique, je dirais, mais quelle importance ? - était offert. Nous avons vu des acteurs amateurs surprenants et des spectacles totalement différents. Cela allait de la mise en scène très sérieuse des "Aveugles" de Maurice Maeterlinck à du théâtre comique sur fond de peinture de société, représentant le monde paysan de la région de Viscomtat d'une façon vraie et désopilante, en passant par une adaptation de "La Gloire de mon père".
Bref, la soirée fut excellente et elle se termina tard. Aussi le lendemain, nous avons tourné au ralenti. Il me restait juste assez d'énergie pour ramasser les feuilles morts. Eh oui, Henri, je l'ai finalement fait après avoir remis la main sur ma pelle !.... Mais je suis déçue car tu avais raison : je ne sais pas pourquoi elles sont revenues. Pourtant on les a emmenées à la déchetterie !...
Aujourd'hui le temps se couvre et plus la matinée avance, plus on sent les orages annoncés venir. On ne voit plus du tout le Puy de Dôme (que je vois de mes fenêtres) et je suis bien sûre que Henri a la tête dans les nuages et dans la pluie.... Il faut trouver à s'occuper sans mettre le nez dehors...
Pour l'heure, je vais vous laisser et attends avec impatience de lire vos nouvelles.
A bientôt donc.
Françoise
PS : Jean-Michel m'a envoyé d'autres photos. Dés que j'ai fait le tri, je les mets sur le blog pour que tout le monde en profite. Je vous demande juste un peu de temps. Tiens, encore lui.....
Un coup d'oeil à la fenêtre et je vois qu'il pleut......
lundi 20 octobre 2008
Emotion
Vendredi dernier j'ai passé la soirée chez Françoise avec son mari et Daniel ROURE. Un moment bien agréable pendant lequel nous avons bien sur fait une petite "commémo" Gélloise mais aussi refait connaissance après presque un 1/2 siècle.
Ce soir là , Françoise m'a remis de la part de Jean Michel ROGER un DVD, ce disque est en fait le support, préparé par Jean Michel, d'un film super 8 fait par son père en 1961.
J'ai retrouvé quelques images de ma brève carrière de comédien lorsque nous avons joué pour la fête du collège une pièce de théâtre "l'Anglais tel qu'on le parle". Il y a aussi quelques images du voyage à ROCAMADOUR.
Il n'est pas facile de décrire une émotion, ceux qui ont vu ce petit film comprendront.
Jean Michel je te dois cet instant un peu particulier (retour vers le passé !!!) soit en remercié, vraiment merci d'avoir fait ça.
Je vous embrasse tous et toutes et j'espère vous revoir puisque j'ai raté le RDV de septembre à Gelles.
A BIENTÔT.
Henri
Ce soir là , Françoise m'a remis de la part de Jean Michel ROGER un DVD, ce disque est en fait le support, préparé par Jean Michel, d'un film super 8 fait par son père en 1961.
J'ai retrouvé quelques images de ma brève carrière de comédien lorsque nous avons joué pour la fête du collège une pièce de théâtre "l'Anglais tel qu'on le parle". Il y a aussi quelques images du voyage à ROCAMADOUR.
Il n'est pas facile de décrire une émotion, ceux qui ont vu ce petit film comprendront.
Jean Michel je te dois cet instant un peu particulier (retour vers le passé !!!) soit en remercié, vraiment merci d'avoir fait ça.
Je vous embrasse tous et toutes et j'espère vous revoir puisque j'ai raté le RDV de septembre à Gelles.
A BIENTÔT.
Henri
mercredi 8 octobre 2008
Un samedi intéressant
J'ai deux amis mariés qui se connaissent depuis 50 ans, depuis la rentrée scolaire 1958. Certes, leur couple ne s'est formé que bien plus tard mais ils ont jugé que ces 50 ans-là devaient se fêter. Mais pas par un banal repas, avec le traditionnel champagne à la fin... Non, cela devait se fêter par un goûter. Il y a 50 ans, on ne faisait pas de repas nocturne pour les anniversaires des enfants, n'est-ce pas?
Alors, nous avons fait un goûter, et les jeux qui vont avec, le tout pour nous ramener 50 ans en arrière.
Pour commencer, il fallait franchir la marelle, aller de la Terre jusqu'au Ciel pour pénétrer dans le parc où la petite Léna - la petite-fille de mes amis - nous donnait un ticket d'entrée. Ensuite, eh bien ensuite, nous avons laissé libre cours à notre mémoire et nous avons joué qui aux billes, qui aux osselets, qui au jeu des 7 familles, qui au mikado.... Il y en avait pour tous les goûts et tous les rires.
Pour ma part, j'ai essayé avec d'autres de retrouver les règles du jeu des osselets : vous rappelez-vous la tour Eiffel, la raflette, le plat, le dos.... Autant de figures dans lesquelles nous étions experts. Moi, j'y jouais tellement que je me rappelle même rêver de ce jeu et dans mes rêves, bien sûr, je gagnais toujours. Oui, mais voilà, 50 ans plus tard, ce jeu a disparu des cours d'école, nous a dit un instituteur de nos amis.
Nous avons aussi joué aux billes mais par manque de place, par défaut de terrain approprié, nous nous sommes contentés de dégommer la pyramide et ce n'était pas ma spécialité. Ce que j'aimais aux billes, c'était le triangle ou le pot ; mais derrière ces mots qu'il me reste, je ne suis plus capable d'aucune explication.
Ce fut une après-midi de joie, de franche camaraderie que nous avons terminée par un ballon-prisonnier magistral, dans la rue, où deux équipes s'affrontaient, les filles contre les garçons. Ce sont les garçons qui ont gagné mais, "eh les filles ! je vous jure qu' ils ont triché". Ils n'ont pas voulu l'avouer mais c'est vrai, ILS ONT TRICHÉ !
Quoiqu'il en soit, on leur a pardonné et on a terminé avec un buffet froid et quelques verres d'apéritif et de vin. Peut-être un peu plus que de raison pour fêter ces 50 ans-là ! Notre mémoire et nos souvenirs ont été largement ravivés et nous avons tous participé avec une conviction certaine.....
Françoise
Alors, nous avons fait un goûter, et les jeux qui vont avec, le tout pour nous ramener 50 ans en arrière.
Pour commencer, il fallait franchir la marelle, aller de la Terre jusqu'au Ciel pour pénétrer dans le parc où la petite Léna - la petite-fille de mes amis - nous donnait un ticket d'entrée. Ensuite, eh bien ensuite, nous avons laissé libre cours à notre mémoire et nous avons joué qui aux billes, qui aux osselets, qui au jeu des 7 familles, qui au mikado.... Il y en avait pour tous les goûts et tous les rires.
Pour ma part, j'ai essayé avec d'autres de retrouver les règles du jeu des osselets : vous rappelez-vous la tour Eiffel, la raflette, le plat, le dos.... Autant de figures dans lesquelles nous étions experts. Moi, j'y jouais tellement que je me rappelle même rêver de ce jeu et dans mes rêves, bien sûr, je gagnais toujours. Oui, mais voilà, 50 ans plus tard, ce jeu a disparu des cours d'école, nous a dit un instituteur de nos amis.
Nous avons aussi joué aux billes mais par manque de place, par défaut de terrain approprié, nous nous sommes contentés de dégommer la pyramide et ce n'était pas ma spécialité. Ce que j'aimais aux billes, c'était le triangle ou le pot ; mais derrière ces mots qu'il me reste, je ne suis plus capable d'aucune explication.
Ce fut une après-midi de joie, de franche camaraderie que nous avons terminée par un ballon-prisonnier magistral, dans la rue, où deux équipes s'affrontaient, les filles contre les garçons. Ce sont les garçons qui ont gagné mais, "eh les filles ! je vous jure qu' ils ont triché". Ils n'ont pas voulu l'avouer mais c'est vrai, ILS ONT TRICHÉ !
Quoiqu'il en soit, on leur a pardonné et on a terminé avec un buffet froid et quelques verres d'apéritif et de vin. Peut-être un peu plus que de raison pour fêter ces 50 ans-là ! Notre mémoire et nos souvenirs ont été largement ravivés et nous avons tous participé avec une conviction certaine.....
Françoise
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